Petit blanc que j'aime - Petit maître que j'aime
Titre
Petit blanc que j'aime
Titre
Petit maître que j'aime
Fonction / Rôle de l'auteur
peintre
Auteur
Vallou de Villeneuve Julien
- NomVallou de Villeneuve
- PrénomJulien
- Date de naissance1795/12/12
- Date de décès1866/05/04
- GenreM
Date de création
1840 : Vers
Matière et technique
toile
; peinture à l'huile
Mesures
Hauteur en cm (avec cadre) : 58,5
; Largeur en cm (avec cadre) : 68,3
Hauteur en cm : 47
; Largeur en cm : 59,2
Description
"Petit maître que j’aime" est une huile sur toile datant d'environ 1840. La reproduction lithographique de cette œuvre porte une variante du titre d'origine : "Petit blanc que j'aime". La peinture illustre une scène de vie à Saint Domingue et particulièrement une relation entre maître et esclave dans les plantations. On retrouve dans ce tableau le goût de l’exotisme, une idéalisation de la nature et la représentation sensuelle des corps féminins. Ce tableau et particulièrement son titre met en avant la vision biaisée de la relation entre un maître et son esclave.
Julien Vallou de Villeneuve fait ses débuts au Salon de 1824. Il se dit lui-même élève d'Ambroise Louis Garneray, mais aussi du miniaturiste Frédéric Millet, de Jean-Baptiste Isabey et de François Alexandre Pernot. En 1827, il présente ses premiers travaux lithographiques, principalement des scènes de genre inspirées des Pays-Bas et des peintres anglais. Les éditeurs parisiens pour ses planches sont Jeannin, Charpentier, Régnier (également graveur pour Le Musée de l'amateur), Rittner et Goupil, lesquels lui commandent au tournant des années 1830 des images dites « libres », sujets légers voire érotiques, sans jamais être pornographiques, publiées en albums, aux côtés entre autres d'Achille Devéria. Il expose ensuite régulièrement peintures, dessins, aquarelles et planches montrant des motifs inspirés de la vie quotidienne paysanne, ou figurant des costumes régionaux voire exotiques, et ce jusqu'en 1849. On compte aussi des scènes galantes, marquées par le goût bourgeois de l'époque, idéalisant le monde rural. Vallou de Villeneuve semble ne plus produire de peintures à partir de 1850-1851. Il se tourne vers la photographie peut-être dès 1849, initié par André Giroux. Il est membre de la jeune et éphémère Société héliographique, première association au monde d'amateurs de cette nouvelle technique qui souhaite désormais produire des vues artistiques, et non plus de simples portraits utilitaires. En 1854, il fait partie des cofondateurs de la Société française de photographie. Son studio, situé à Paris au 18, rue Bleue, produit un nombre important de clichés de nus féminins, d'après des modèles dont certains, selon Jean Adhémar, inspirèrent entre autres des compositions de Gustave Courbet, mais aussi des portraits de comédiens du Théâtre Français, ainsi que quelques paysages. On ne trouve cependant plus trace de son activité photographique après 1855. (source: wikipédia)
Historique
Chatillon Marcel
Numéro d'inventaire
2003.4.13
Département
Iconographie
Facettes
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- 19e siècle
- 19e siècle 2e quart
- 19e siècle 1ère moitié
- 1840
- COLLECTIONNEUR
- Chatillon Marcel
- matériau d'origine végétale
- toile
- Antilles
- Amérique
- Grandes Antilles
- République Dominicaine
- Saint-Domingue
- scène
- âge et sexe
- Corps / être humain
- Végétal
- Elément végétal
- Nature
- Fleur
- Elément du corps
- Ensemble naturel
- architecture d'habitation
- architecture civile
- Femme
- Costume civil
- Costumes et accessoires
- Nu
- Type de figuration
- Déterminant de la représentation
- Déterminant de position
- Homme
- Société et vie sociale
- Mer
- Demeure
- Noir
- Race et espèce humaine
- Blanc
- esclave
- esclavage
- Statut social
- Habitation (plantation aux Antilles)
- Montagne
- Assis
- Coiffe
- Relation sociale
- Bienveillance
- Jupe
- Caresse
- Sexualité
- Sein
- technique peinture
- peinture à l'huile